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Dans cet épisode, nous allons discuter des sujets suivants : Sucre en rayon, testostérone, oméga-3 et sommeil

Nouveau ! La fin des régimes qui échouent : 15 erreurs cruciales à éviter

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Sommaire du podcast :

  1. Mexique : Étiquetage AlimentaireLe Mexique, confronté à une prévalence élevée d’obésité, notamment chez les enfants (environ 35%), a mis en place un système d’étiquetage nutritionnel pour sensibiliser le public aux dangers de la surconsommation d’aliments transformés. Marion Nestle, professeure de nutrition à l’Université de New York, souligne que les industriels cherchent des moyens de contourner cette réglementation. Les autorités sanitaires mexicaines exigent des fabricants qu’ils apposent des octogones noirs sur les produits trop gras, sucrés ou salés, similaires au Nutri-Score en France. Sur le terrain, Marion a observé que la moitié des produits portent des avertissements concernant l’excès de sel, sucre, graisses saturées, etc. De plus, les produits destinés aux enfants ne peuvent plus afficher des personnages de dessins animés s’ils nécessitent un étiquetage d’avertissement. Cependant, certaines entreprises tentent de masquer ces étiquettes en magasin. Malgré ces tentatives, l’efficacité des avertissements semble évidente, car les entreprises agroalimentaires résistent activement à ces nouvelles réglementations.
  2. Covid et TestostéroneLe virus SARS-CoV-2, responsable de la COVID-19, semble avoir un impact sur la testostérone chez les hommes. Selon des recherches, le virus peut infecter des neurones de l’hypothalamus, essentiels à la reproduction et à certaines fonctions cognitives. Cette infection provoquerait une baisse significative de la testostérone et entraînerait des troubles de l’attention et de la mémoire. Une méta-analyse de 41 études a révélé que 43% des personnes infectées pourraient souffrir de « Covid long », avec des symptômes persistants tels que la fatigue et des troubles cognitifs. De plus, une étude a montré que 10% des hommes hospitalisés à cause du virus présentaient une baisse de leurs hormones sexuelles, et un tiers avaient une concentration très faible de testostérone. Les variations hormonales étaient également liées à la gravité des troubles cognitifs. Cette découverte souligne l’importance de prendre en charge les patients présentant des symptômes persistants après une infection à la COVID-19.
  3. Omega-3 mesuréDes chercheurs de l’Université McMaster et de l’Université de Guelph ont mis au point une nouvelle méthode pratique pour suivre les niveaux d’acides gras oméga-3 dans le sang. Ces acides, essentiels pour la santé cardiovasculaire et cognitive, étaient auparavant difficiles à mesurer. Deux acides gras oméga-3 clés, l’EPA et le DHA, proviennent principalement de sources telles que le poisson et les compléments alimentaires. Le manque d’oméga-3 est lié à des risques cardiovasculaires, à l’inflammation, à la dépression et à d’autres problèmes de santé. Les nouveaux biomarqueurs de l’Indice Oméga-3 (O3I) faciliteront les études sur la nutrition en oméga-3. Un O3I inférieur à 4% indique un risque cardiovasculaire plus élevé, tandis qu’un O3I supérieur à 8% réduit ce risque. Les tests existants nécessitaient de grandes quantités de sang et des analyses complexes. Cette nouvelle méthode pourrait permettre un dépistage régulier. La recherche, publiée dans le Journal of Lipid Research, a également révélé que des dosages de 3 à 5 grammes d’huile de poisson ou de compléments EPA/DHA étaient administrés aux participants.
  4. Sommeil et CardioUn récent rapport révèle que retarder l’heure du coucher de seulement 90 minutes chaque nuit endommage les cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins, renforçant l’hypothèse que le manque de sommeil est lié à la santé cardiaque. Environ un tiers des Américains dorment habituellement seulement cinq à six heures par nuit, au lieu des sept à huit heures recommandées. Cette légère privation chronique de sommeil pourrait augmenter le risque de maladie cardiaque plus tard dans la vie. Une étude de Columbia sur des femmes a montré qu’après seulement six semaines de sommeil réduit, les cellules de nos vaisseaux sanguins sont inondées d’oxydants nocifs. Contrairement aux cellules bien reposées, les cellules privées de sommeil ne parviennent pas à activer les réponses antioxydantes pour éliminer ces molécules destructrices. En conséquence, les cellules deviennent enflammées et dysfonctionnelles, une étape préliminaire dans le développement des maladies cardiovasculaires. La directrice de l’étude, Sanja Jelic, souligne l’importance de dormir au moins sept à huit heures par nuit pour réduire les risques cardiovasculaires.
  5. La fin des régimes qui échouent : 15 erreurs cruciales à éviter

 

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