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Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness nous allons parler de perdre 6 kg, d’entrainement respiratoire, de fromage et de cauchemars.

Nouveau : Les habitudes invisibles de ceux qui réussissent à se muscler (et bien plus )

Au programme :

  • Régime végan vs. régime méditerranéen : le véganisme alcalin favorise la perte de poids

    Un essai clinique mené à Washington et publié dans Frontiers in Nutrition compare, pour la première fois, l’impact direct d’un régime méditerranéen et d’un régime végan pauvre en graisses sur l’acidité de l’alimentation et le poids chez des adultes en surpoids. L’étude, un essai croisé randomisé, a suivi 62 volontaires, chaque participant testant tour à tour les deux régimes pendant 16 semaines, séparés par une période de transition.

    La nouveauté de cette recherche réside dans le fait que seul le régime végan a permis de réduire de manière significative l’acidité alimentaire, aboutissant à une perte de poids moyenne de 6 kg, alors que le régime méditerranéen n’a pas entraîné de variation du poids.

    La diminution du poids observée sous régime végan était due principalement à une réduction de la masse grasse. Les analyses statistiques révèlent un lien direct entre la baisse de l’acidité alimentaire (calculée par les scores PRAL et NEAP) et la perte de poids, indépendamment de la quantité de calories consommées. Cela signifie que l’effet bénéfique est bien lié à l’alcalinité apportée par une alimentation riche en fruits, légumes, céréales complètes et légumineuses, sans produits d’origine animale.

    En conclusion, cette recherche de haut niveau (essai clinique randomisé en cross-over) montre que le choix d’un régime végan pauvre en graisses peut offrir des avantages concrets pour perdre du poids et réduire l’acidité alimentaire, par rapport à un régime méditerranéen pourtant considéré comme modèle de santé.

    Source : https://www.frontiersin.org/journals/nutrition/articles/10.3389/fnut.2025.1634215/full

  • L’entraînement respiratoire améliore la santé cardiaque sans impact direct sur le sommeil, révèle une étude

    Une étude prospective pilotée par des chercheurs américains, publiée sur bioRxiv, explore les effets de l’entraînement des muscles respiratoires sur le sommeil et la santé cardiovasculaire chez des adultes en bonne santé. Soixante-sept volontaires, équipés de bracelets connectés, ont suivi pendant cinq semaines un programme quotidien d’exercices combinant renforcement des muscles inspiratoires et expiratoires, tandis qu’un groupe témoin poursuivait sa routine habituelle.

    Les scientifiques ont mesuré à la fois la qualité du sommeil et des indicateurs de la fonction cardiaque comme la variabilité de la fréquence cardiaque, un marqueur reconnu de la santé du système nerveux autonome. Résultat : l’étude montre que l’entraînement respiratoire améliore de façon significative la variabilité de la fréquence cardiaque, reflétant une meilleure santé cardiaque, sans pour autant modifier la qualité du sommeil chez les participants, qu’ils soient bons ou mauvais dormeurs. Les effets positifs sur la fonction autonome cardiaque persistent au-delà de la période d’entraînement.

    Cette recherche randomisée contrôlée, réalisée en conditions réelles et à distance grâce à des objets connectés, constitue une première dans une population non clinique. Elle suggère que l’entraînement respiratoire pourrait devenir une stratégie simple et non-médicamenteuse pour renforcer la santé cardiovasculaire, y compris chez les personnes sans pathologie particulière. Toutefois, l’étude souligne la nécessité de poursuivre les recherches sur des périodes plus longues et sur un plus large public.

    Source : https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2025.06.27.661934v1

  • Fromage et cauchemars : le lien insoupçonné entre alimentation, sommeil et rêves selon une étude

    Que l’on croque du fromage avant d’aller dormir ou qu’on grignote sucré en soirée, nos choix alimentaires pourraient bien influencer la qualité de nos nuits — et même la teneur de nos rêves. C’est ce que révèle une nouvelle étude publiée dans Frontiers in Psychology, menée auprès de plus de 1 000 étudiants, qui met en lumière un lien inattendu entre la consommation de produits laitiers et la survenue de cauchemars.

    La grande nouveauté de cette recherche est de démontrer qu’une intolérance au lactose, souvent méconnue, est fortement associée à la fréquence des cauchemars et à un sommeil de mauvaise qualité, vraisemblablement à cause des troubles digestifs survenant la nuit. Concrètement, un tiers des sondés déclarent faire régulièrement des cauchemars ; les femmes sont presque deux fois plus nombreuses que les hommes à souffrir d’intolérance alimentaire et à rapporter de mauvais rêves.

    Environ 40 % des participants pensent que leurs habitudes alimentaires du soir affectent leur sommeil, et 25 % identifient certains aliments — principalement les produits laitiers, les sucreries et les plats épicés — comme responsables de nuits perturbées. Fait marquant : ceux qui mangent moins sainement ont tendance à avoir des rêves plus négatifs et à moins s’en souvenir.

    Si la corrélation entre alimentation, sommeil et rêves semble claire, les chercheurs rappellent que le lien de cause à effet reste à approfondir. Ils plaident pour de futures études expérimentales afin de vérifier, par exemple, si manger du fromage avant le coucher aggrave vraiment les cauchemars.

    Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/07/250701020653.htm

  • Dormir plus tôt pour bouger plus : le nouveau lien entre sommeil et activité physique révélé par deux grandes études

    Deux études de grande ampleur menées sur près de 26 000 adultes viennent de démontrer un fait marquant : la façon dont nous dormons, et surtout l’heure à laquelle nous nous couchons, influence directement notre niveau d’activité physique le lendemain. Publiée dans la revue PNAS , cette recherche s’appuie sur l’analyse de millions de nuits et de journées d’activité, enregistrées par des bracelets connectés portés pendant un an.

    La nouveauté de cette étude, c’est de montrer que se coucher plus tôt que d’habitude — tout en maintenant sa durée de sommeil habituelle — permet d’augmenter significativement son activité physique modérée à intense dès le lendemain. À l’inverse, un coucher tardif ou un sommeil plus long que d’ordinaire se traduit par une baisse de l’activité physique le jour suivant.

    Concrètement, dormir moins longtemps ou se coucher plus tôt que sa moyenne booste le temps passé à bouger, tandis qu’un coucher tardif ou un surplus de sommeil a l’effet inverse. Ce lien reste solide même après prise en compte de l’âge, du sexe, de l’indice de masse corporelle, du jour de la semaine ou des saisons. Une deuxième étude indépendante, menée auprès de 5 898 personnes, confirme ces résultats, bien que dans une moindre mesure.

    Les chercheurs insistent sur la nécessité de promouvoir, dans les messages de santé publique, une approche globale qui tienne compte à la fois du sommeil et de l’activité physique, deux piliers indissociables de la santé.

    Nature de l’étude : études observationnelles longitudinales basées sur le suivi d’objets connectés (bracelet WHOOP et Fitbit). Conflit d’intérêt déclaré pour deux auteurs affiliés à la société WHOOP, Inc.

    Source : https://www.pnas.org/doi/10.1073/pnas.2420846122

  • Les habitudes invisibles de ceux qui réussissent à se muscler (et bien plus )
    • Comment obtenir un effet cumulé sans surcharge mentale
    • Un système qui déclenche les bonnes actions, même quand ta vie est en vrac
    • Comment éliminer la friction mentale qui t’empêche de passer à l’action
    • Une méthode pour maintenir la motivation sans te forcer
    • Et surtout… comment faire de tout ça une habitude
    • Inclus : Audio + Guide PDF
    • C’EST ICI : https://wp.me/p3K20L-iBv

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Mes 8 outils pour se transformer
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Fitnessmith (Théo) est un spécialiste de la musculation naturelle et de la nutrition depuis 2004. Ayant souffert d'obésité modérée dans sa jeunesse, il s'est formé pour comprendre et lutter contre son surpoids. Grâce au sport, à la nutrition et à une hygiène de vie saine, il a réussi à transformer son corps et son mode de vie. Passionné par l’optimisation physique et la performance, il a expérimenté et comparé différentes méthodes d'entraînement, notamment la force, l'hypertrophie et l'endurance musculaire, afin d’en analyser les effets sur le corps et la progression athlétique. Conscient que la transformation physique va bien au-delà de l’entraînement et de l’alimentation, il s'est également documenté sur la santé mentale, les troubles du comportement alimentaire (TCA), la dysmorphophobie, l'image de soi et les mécanismes de la motivation au changement, afin d’aider ceux qui souhaitent améliorer leur relation avec leur corps et leur bien-être global. Aujourd’hui, il partage son expertise et son expérience à travers son site , ses , ses et ses réseaux sociaux, notamment et . Auteur du livre aux éditions Eyrolles, il écrit également pour le magazine et intervient dans de nombreux sur le web. Il propose sur son site adaptés à ceux qui souhaitent perdre de la graisse et prendre du muscle, basés sur des données scientifiques et son expérience personnelle. Vous pouvez également . Avertissement : les informations fournies sur Fitnessmith.fr sont destinées à un usage informatif et ne remplacent pas les conseils d’un professionnel de santé. Fitnessmith.fr ne garantit pas l’exactitude, la fiabilité ou l’exhaustivité des contenus, et leur utilisation se fait sous votre entière responsabilité.

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