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Dans cet épisode du podcast La Pause Fitness, nous allons parler de glucides, de jeûne, de myéline, de course à pied et de perte de poids.
NOUVEAU : Voici comment perdre le gras du ventre qui vient du stress
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Au programme :
Moins de nourriture + de blessures
Une nouvelle étude australienne révèle un lien direct entre alimentation insuffisante et risque accru de blessures chez les coureurs, notamment chez les femmes. Menée sur près de 6 000 coureurs de fond, cette revue systématique montre que les femmes blessées consommaient en moyenne 450 calories et 20 grammes de lipides en moins par jour que celles sans blessures. Les hommes et femmes blessés consommaient également 3 grammes de fibres en moins quotidiennement.
L’apport énergétique et lipidique est désormais identifié comme un facteur clé de prévention des blessures, surtout chez les sportives. À l’inverse, les quantités de protéines, glucides, alcool et calcium n’ont pas montré d’impact significatif.
Près d’un coureur sur deux subit une blessure liée à la course. Pour les chercheurs de l’université d’Australie-Méridionale, ce chiffre peut baisser si les coureurs apprennent à mieux écouter les besoins de leur corps. L’objectif : éviter les fractures de stress, la perte de masse musculaire ou la fatigue chronique, toutes liées à une alimentation trop faible.
Un appel est lancé aux professionnels de santé pour accompagner les athlètes, et en particulier les femmes, vers une alimentation adaptée à leurs dépenses énergétiques.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/04/250410131015.htm
Muscles : une mémoire cachée
Bonne nouvelle pour les sportifs qui s’inquiètent de perdre leurs muscles pendant une pause : les muscles gardent en mémoire les entraînements passés, même après plusieurs semaines sans effort. C’est ce que démontre une étude finlandaise de l’Université de Jyväskylä, publiée dans le Journal of Physiology.
Pendant cette recherche, des adultes ont suivi 10 semaines de musculation, puis une pause de 10 semaines, avant de reprendre 10 nouvelles semaines d’exercices. En analysant plus de 3 000 protéines musculaires avec des outils de pointe, les scientifiques ont découvert que certaines protéines retrouvent rapidement leur activité après la reprise de l’entraînement.
Les muscles conservent une trace des efforts passés au niveau des protéines, pendant au moins deux mois et demi. Certaines protéines, notamment celles liées au métabolisme aérobie ou au calcium, comme la calpaïne-2, restent modifiées même après un arrêt.
Résultat : le retour à l’exercice est plus rapide et plus efficace, même après une pause. Cette découverte renforce l’idée que le corps se souvient de l’effort, et qu’un break ne signifie pas repartir de zéro.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/04/250415144022.htm
Low‑Carb sans privation : le hack métabolique anti‑jeûne
Une nouvelle étude britannique remet en question le jeûne intermittent en proposant une alternative plus simple : réduire les glucides sans couper drastiquement les calories. Menée par l’Université du Surrey, la recherche a testé trois régimes sur des adultes en surpoids : un régime classique, un régime pauvre en glucides mais équilibré, et un régime pauvre en glucides avec restriction calorique importante.
Même sans réduire les calories, un régime pauvre en glucides améliore les marqueurs métaboliques, tout comme le fait le jeûne. Les participants ont mieux métabolisé les graisses après un repas riche, avec une baisse des triglycérides dans le sang – un facteur de risque de maladies cardiaques.
Autre point clé : bien que les jours à faible teneur en glucides aient provoqué plus de sensation de faim, les participants n’ont pas mangé plus par la suite, ce qui suggère une adaptation possible à long terme.
Cette méthode, jugée plus accessible et durable, pourrait ainsi aider à prévenir le diabète de type 2, les maladies cardiovasculaires et l’obésité, sans passer par la privation sévère.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/04/250408121755.htm
Marathons : le cerveau puise dans sa gaine
Une étude inédite révèle que courir un marathon pousse le cerveau à utiliser la myéline, une matière grasse qui entoure les neurones, comme source d’énergie. Cette découverte surprenante, menée par une équipe espagnole et publiée dans Nature Metabolism, montre que l’effort extrême sollicite bien plus que les muscles.
Les chercheurs ont observé, grâce à des IRM, une baisse de la myéline dans 12 zones du cerveau 48 heures après un marathon. Ces régions sont liées à la coordination, aux émotions et à la perception sensorielle. Deux semaines plus tard, la myéline avait en partie récupéré, et elle était complètement restaurée au bout de deux mois. Pour protéger ta myéline pendant l’effort, mise sur les oméga-3 (poissons gras, noix), la choline (œufs, foie), les vitamines B12 et D3 (viande, soleil, poisson), et les antioxydants (fruits rouges, légumes verts, curcuma).
Le cerveau utilise la myéline comme carburant de secours en cas de manque d’énergie, un phénomène jusque-là observé seulement chez les rongeurs. Ce mécanisme pourrait ouvrir de nouvelles pistes pour traiter des maladies comme la sclérose en plaques, où la perte de myéline entraîne de graves troubles neurologiques.
Les scientifiques insistent sur le fait que courir un marathon n’est pas dangereux pour le cerveau, bien au contraire. Cela stimulerait même sa capacité à se régénérer.
Source : https://www.sciencedaily.com/releases/2025/04/250410130914.htm
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- Mécanismes hormonaux : rôle-clé du cortisol et des autres hormones dans l’axe du stress.
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