You are currently viewing De gras du bide à sec : comment j’ai perdu 23 kg et affiché mes abdos

De gras du bide à sec, je vais vous raconter mon aventure. Comment je suis passé de gras du ventre, gras du bide, à sec. Pas en jouant à l’apprenti sorcier, pas en achetant la méthode miracle du moment, mais en comprenant ce qui marche vraiment, puis en l’appliquant.

J’ai reçu pas mal de questions à ce sujet. Des questions taboues. Des questions gênantes parfois. Et justement, j’ai envie d’en parler aujourd’hui, parce que c’est souvent là que les gens s’auto-sabotent : ils n’osent pas poser les bonnes questions, ils n’osent pas regarder la réalité en face, et ils finissent par se perdre dans le brouhaha des fausses informations.

Donc oui, je vais te donner beaucoup de choses ici. L’objectif ici, c’est que tu comprennes la logique. Si tu veux vraiment comprendre comment passer de gras du bide à sec, alors tu dois maîtriser les principes qui rendent ça possible. C’est un passage obligatoire.

Résumé rapide : 

J’étais gras du ventre depuis l’adolescence. On m’a dit que c’était génétique, que j’avais des gros os. J’ai perdu 23 kg en trois mois en supprimant les féculents, en mangeant énormément de légumes, beaucoup de protéines, des graisses de qualité, et en m’entraînant sérieusement (split + abdos fréquents). Résultat : abdos visibles, confiance retrouvée, meilleure santé, et surtout une compétence durable pour ne plus avoir peur de reprendre.

Si vous préférer voir la vidéo ou j’explique ça, elle est juste en dessous.

Tu veux faire ta propre transformation ? Voici la méthode que j’ai utilisée pour perdre 23kg et voir mes abdos en 3 mois (Plan alimentaire + Entraînement).

 

 

Le mensonge des gènes et des “gros os”

On m’a toujours dit quand j’étais gosse : “c’est dans tes gènes, c’est comme ça”. Dans un côté de ma famille, du côté des hommes, il y avait du surpoids. Et puis il y avait aussi ce grand classique : “tu as des gros os, c’est pour ça que tu es plus lourd”.

C’était bienveillant. C’était rassurant. Mais c’était des gentils mensonges. Et je dis ça sans agressivité. Je dis juste la vérité : ce n’était pas la réalité. Parce que j’ai réussi à voir mes abdos apparaître en faisant ce qu’il faut. Donc non, je n’étais pas condamné.

La génétique existe, évidemment. Mais elle n’est pas une excuse pour capituler. Elle explique des facilités et des difficultés. Elle n’écrit pas la fin de l’histoire.

 

Ce que j’ai fait exactement : une approche alimentaire simple

Première question qu’on m’a posée : “Tu as fait quel régime exactement ? Kéto, jeûne intermittent, Dukan ?”

Moi, j’ai fait une approche très simple. J’ai attrapé tous les glucides de type féculents, sucres, tout ce qui dérive de ça, et j’ai fait le ménage. Je n’ai pas fait un régime sans glucides. J’ai fait un régime sans féculents.

Pain, pâtes, riz, même les légumineuses : tout ça, ça a dégagé. Mes glucides venaient surtout d’un peu de fruits rouges, myrtilles, framboises, fraises, et surtout, massivement des végétaux, des légumes. Je te donne un repère : un sachet de légumes surgelés, ça pouvait faire ma journée. Un kilo de légumes dans la journée, sans problème.

Et à côté de ça : de très bonnes quantités de protéines. Viande, œufs, poissons, protéines en poudre. Et des graisses de bonne qualité : avocat, saumon, jaune d’œuf, huile d’olive, noix.

C’est avec ça que je suis passé de 91-92 kilos à 69-70 kilos très rapidement. En trois mois, j’ai perdu 23 kilos.

 

Pourquoi j’ai perdu 23 kg en trois mois : le facteur “résultats rapides”

Tu sais ce qui m’a aidé ? C’est que j’ai vu des résultats dès la première semaine. Et ça, c’est énorme. Quand tu vois ton corps réagir vite, tu n’as pas besoin de te raconter des histoires. Tu es nourri par les preuves.

Je me revois dans mon appartement, célibataire, une petite grotte en cœur de ville. Je me regardais dans ces miroirs Ikea qu’on colle au mur, ceux qu’on connaît tous, et je me mettais à la même lumière chaque semaine. Je me voyais fondre. Vraiment. C’était un truc de fou.

Je reprenais des photos. Je voyais les deux abdos du haut apparaître, puis les deux suivants, puis les deux derniers. Le Graal. Quand tu vois les deux du bas commencer à sortir, que la peau se tend, que le V se creuse, que les premières veines apparaissent, là, c’est magique.

Ce qu’on ne dit pas : le poids psychologique du “gras du bide”

Moi, j’ai été moqué adolescent. Dans les années 90, on n’était pas nombreux à avoir du bide en classe. Il y avait un obèse par classe, et puis un ou deux gras du bide. La majorité des gosses était plutôt fine. Aujourd’hui, ça a changé, mais à l’époque, c’était violent.

Et ça laisse des traces. Inconsciemment, tu te protèges. Tu es mal à l’aise, tu ne sais pas toujours pourquoi, mais tu portes ça.

Dans la jeune vie d’adulte, quand tu es gras du ventre, tu as du mal à faire tomber le t-shirt. Intimité, piscine, plage, même avec les copains. Quand eux ont un physique sec, ils ont confiance en eux. Toi, tu as envie de garder le t-shirt.

Et moi, en plus, je me tapais de l’acné dans le dos à l’adolescence. De face, gras du bide. De dos, des boutons. L’enfer. Enlever le t-shirt, c’était une torture.

 

Alcool et sucre : ce que j’ai arrêté, et quand

“Tu as arrêté totalement l’alcool, le sucre ?”

L’alcool, j’ai arrêté très tôt quand je me suis mis à faire de la musculation. J’ai commencé la muscu jeune, 15-16 ans. Mais j’ai arrêté réellement les conneries d’ado quand j’ai eu mon permis de conduire. J’avais trop peur de perdre ce papier de liberté. Pour moi, le permis, c’était la liberté. Mon monde est passé d’une petite superficie à l’horizon complet.

Le sucre, oui, j’ai arrêté. Mais je vais être précis : je n’étais pas spécialement bec sucré. J’étais bec glucides. Pâtes, pain, pain de mie, toutes ces m*rdes. Le goût sucré pur, je pouvais m’en passer. Mais les féculents, j’adorais.

Au début, pour tenir, j’ai utilisé des canettes type Coca Light ou Coca Zero. Je ne te le recommande pas, surtout sur le long terme. J’ai rapidement arrêté. Mais je suis honnête : au début, ça m’a aidé à faire une transition, surtout en fin de matinée, et ça me permettait de repousser encore le repas du midi.

La carrure : pourquoi beaucoup d’hommes restent gras

Quand j’étais à 92 kg pour 1,75 m, j’avais une bonne carrure. 92 kilos avec du muscle et du gras. Pas que du gras. De bonnes épaules, de bons bras.

Et il y a un truc dont on parle peu : beaucoup d’hommes ont du mal à perdre du poids parce qu’ils perdent aussi une partie de leur carrure quand ils sont habillés. Et ça leur fait péter un câble. Ne plus être imposant, ça les rend nerveux. Ils préfèrent rester gras pour “garder le gabarit”.

Je te le dis clairement : je te déconseille fortement de rester gras pour garder ta carrure. Ça ne t’apporte rien. À part si tu fais un sport où le poids de corps est un avantage direct, lutte, certaines catégories, d’accord. Mais sinon, tu cours moins vite, tu fais moins de tractions, tu pousses moins dès qu’il s’agit de ton propre poids. Et esthétiquement, quand tu tombes les fringues, tu ne te plais pas.

Et puis, quelqu’un qui s’y connaît un minimum, tu ne lui fais pas à l’envers. Le visage, ça se voit. Moi je dis même : je vois une personne adipeuse des avant-bras. Ça se lit sur toi.

 

L’aileron sur la Clio diesel

Tu sais, c’est comme la Clio 1.9 diesel. Tu mets un aileron, des prises d’air, des jantes larges, et à l’intérieur, tu as un 1.9D de 90 chevaux. Non. Ça ne passe pas.

Mieux vaut un petit gabarit avec un bon moteur. Une petite Abarth, petit gabarit, moteur copieux. Plutôt qu’une grosse berline avec le plus petit moteur dedans, le truc qui tousse et qui n’avance pas.

Si tu veux le gros gabarit, il faut le gros gabarit avec le gros moteur. Et ça prend du temps. Ça prend une vie. Naturellement, un gros gabarit sec, c’est rare. 1,75 m, sec, 75-78 kg, ça peut déjà être un très beau gabarit. Au-delà, c’est compliqué si tu veux les abdos visibles jusqu’en bas.

 

Entraînement : 5 séances, split, et abdos “tabassés”

“Tu allais à la salle combien de fois par semaine ?” Durant cette période : cinq fois par semaine. Dans une salle fermée le week-end. Le week-end, si j’avais envie de bouger, je faisais parcours de santé, cardio, ce genre de choses. J’avais aussi une paire d’haltères et un banc chez moi.

Homme très sec en musculation naturelle : forte définition musculaire, abdos visibles et vascularisation après perte de 23 kg

En salle, je faisais un split. Pecs triceps, dos biceps, cuisses mollets, épaules, et parfois un rappel biceps triceps. Souvent un rappel le vendredi.

Et les abdos, je les ai vraiment tabassés. Parce que chez moi, le ventre est une zone qui stocke facilement. Donc il faut de la densité, de l’épaisseur, pour qu’ils ressortent. Abdos au moins un jour sur deux. Du lourd, du léger, du long. À la poulie, au poids de corps. J’ai exploré toutes les façons possibles.

Assez peu de gainage, à part la roue abdominale. Le gainage pur, ce n’était pas assez intense pour ce que je cherchais à ce moment-là.

 

“C’est quoi ton secret ?” Le vrai secret, c’est qu’il n’y en a pas

J’aime bien cette question parce qu’elle contient un sous-entendu : il doit y avoir une astuce facile que tu ne révèles pas. Non. Il n’y a pas d’astuce facile. Le secret, c’est de se rendre compte tôt qu’il n’y en a pas.

Il va falloir fournir un effort. Il va falloir faire des choix. Si tu préfères l’alcool, le sucre et la bonne bouffe à tes abdos apparents, tu n’y arriveras pas. C’est tout.

Et je vais être encore plus direct : si tu n’as jamais vraiment souffert d’être en surpoids, si ta motivation est tiède, si tu veux juste “un peu d’abdos” comme on veut un nouveau canapé, laisse tomber. Tu n’iras pas au bout. Il faut un moteur. Une raison forte. Une envie profonde d’arrêter de subir.

Le regard des autres : la vérité sociale

On aime dire : “ça doit être intérieur, il ne faut pas dépendre du regard des autres.” C’est une belle phrase, mais c’est faux. On est des êtres sociaux. On dépend forcément du regard des autres.

La confiance et l’estime de soi sont dictées aussi par comment les gens te respectent. Quand tu réussis, une partie de ton entourage te regarde avec un peu d’admiration. Et ce peu d’admiration, tu n’as pas envie de t’en passer. Ça t’aide à continuer.

On a envie d’être un mentor pour les plus jeunes. On a envie d’être admiré par sa compagne. On a envie de séduire, de plaire. C’est humain. C’est normal. Moi, je n’ai rien contre ça.

 

La peur de tout reprendre : pourquoi elle disparaît

“Tu n’as pas peur de tout reprendre ?” Non. Et là, on compte en décennies, pas en mois. Je n’ai pas repris.

La peur de tout reprendre, c’est quand tu n’es pas convaincu de ce que tu fais. Quand tu fais une diète bancale, quand tu te mens, quand tu n’as pas de compétences. Moi, j’ai construit une philosophie, une méthode, des repères.

Et j’ai passé des Noëls à manger foie gras et à garder mes abdos. Mon mode de vie ne me prive pas de la vie. Il m’en fait profiter. La différence, c’est que l’ancien moi, en surpoids, avait de la culpabilité à chaque repas de fête. Il arrivait gras en espérant que “cette année” serait la bonne. Maintenant, j’arrive avec mes abdos. Je repars avec mes abdos.

Et d’ailleurs, mon premier gros régime, celui des 23 kg, je l’avais démarré fin octobre, début novembre. Je l’ai fait en plein hiver. Et je suis passé à travers la période des fêtes. Donc non, je n’ai plus peur.

 

Le cadeau le plus précieux : les compétences

Ce que je transmets dans le Club VIP, c’est exactement ça : des compétences. Pour enlever l’anxiété de tout reprendre. Pour avoir les clés. Pour maîtriser son tour de taille.

Et je te dis un truc : offrir un diamant, ça fait plaisir. Offrir la capacité de maîtriser son tour de taille, de rentrer dans le jean qu’on veut, c’est un pouvoir bien plus grand. Maîtriser le gras sous le menton, le gras sous le bras, le gras du bas du ventre, le gras qui te complexait. C’est un changement de statut mental. Tu descends ces complexes de leur piédestal.

Quand tu maîtrises, tu peux même en rire. Ce n’est plus si grave. Beaucoup de gens entretiennent le flou pour garder leur petit savoir. Moi, je pars du principe que ce n’est pas si difficile quand tu comprends comment ça fonctionne.

 

“Tu étais plus drôle avant” : le mythe du gras bon vivant

Il y a une question gênante : “Tu étais plus drôle, plus bon vivant avant, non ?”

C’est gênant parce que c’est ancré dans l’inconscient collectif : le bon copain, le bon sourire, le mec qui fait marrer, c’est le gars gras. Mais ce n’est pas celui avec qui on a envie de coucher. C’est dur à dire, mais c’est souvent vrai.

Donc non, je n’ai pas perdu ma joie de vivre. Au contraire. En photo, tu peux faire plus sérieux parce que le visage est plus affûté. Mais dans la vie, tu es plus heureux parce que tu as enfin le corps que tu attendais.

Les gens qui disent qu’on perd sa joie de vivre en perdant du poids, c’est qu’ils ne savent pas faire un régime. Ils ne connaissent rien. Quand tu sais faire les choses, ta joie de vivre augmente au fur et à mesure que tu perds tes kilos. Et en plus, tu gagnes en santé à long terme.

 

Vergetures : mon observation et la qualité alimentaire

“Tu as gardé beaucoup de vergetures ?” Non. Zéro. Et je vais te donner mon observation : il y a une part de génétique, oui. Mais j’ai souvent remarqué que les vergetures sont présentes chez ceux qui ont une alimentation de mauvaise qualité, ou qui ont eu longtemps une mauvaise alimentation.

Moi, j’ai eu une chance : petit, ma mère m’a bien nourri. Légumes du jardin. Et quand j’ai fait mes diètes, j’ai veillé à la qualité des aliments. Je n’ai pas juste compté des macros.

Si tu veux te préserver au maximum : alimentation de très bonne qualité, bons oméga-3, collagène, et globalement, des aliments propres.

 

La question taboue : la taille et les érections

“Elle paraît plus grosse maintenant, non ?” Oui, tu fais référence au sexe. Et oui, ce n’est pas un mythe.

Il y a deux raisons. Première raison : quand tu perds du poids, ce n’est pas seulement qu’elle paraît plus grosse, c’est qu’elle l’est réellement plus grosse, dans le sens où il y a moins de tissu adipeux sur le pubis, sur le bas du ventre. Quand ce gras baisse, ton sexe ne recule pas avec. Donc tu “récupères” du visible.

Deuxième raison : la qualité des érections est bien meilleure. La circulation sanguine se passe beaucoup mieux quand tu as moins de tissu adipeux. C’est de la mécanique.

Je ne te dis pas que tu passes de 10 à 25 centimètres. Mais tu gagnes un peu. Et si ça te donne un peu plus de confiance, si tu es complexé, ça peut être une motivation supplémentaire. Et si tu as des problèmes d’érection, ou que tu veux simplement améliorer ça, la perte de gras est une piste très concrète.

Illustration avant après de transformation physique homme : passage de gras du bide à sec avec perte de 23 kg, contraste entre surpoids et corps sec avec abdos visibles

Et je le dis clairement : je pars du principe qu’on peut s’appuyer sur toutes les motivations, tant qu’on ne vend pas du rêve et qu’on ne raconte pas des mensonges. Là, ce n’est pas du rêve. C’est de la réalité.

 

La méthode complète

Si tu veux la méthode complète, diète et entraînement, je l’ai réunie dans un guide et dans mes ressources. Le but, ce n’est pas de te rendre dépendant. Le but, c’est de te donner les compétences.

Encore mieux

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Là, tu augmentes tes compétences et tu deviens libre. Tu n’as plus besoin de dépendre d’un coach, ce qui peut te coûter un certain budget. Ça t’enlève aussi de la charge mentale (un autre avantage du club vip).

Prends soin de toi, prends soin des tiens. Et on se retrouve la semaine prochaine.

Théo @fitnessmith

Mes 8 outils pour se transformer
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Fitnessmith (Théo) est un spécialiste de la musculation naturelle et de la nutrition depuis 2004. Ayant souffert d'obésité modérée dans sa jeunesse, il s'est formé pour comprendre et lutter contre son surpoids. Grâce au sport, à la nutrition et à une hygiène de vie saine, il a réussi à transformer son corps et son mode de vie. Passionné par l’optimisation physique et la performance, il a expérimenté et comparé différentes méthodes d'entraînement, notamment la force, l'hypertrophie et l'endurance musculaire, afin d’en analyser les effets sur le corps et la progression athlétique. Conscient que la transformation physique va bien au-delà de l’entraînement et de l’alimentation, il s'est également documenté sur la santé mentale, les troubles du comportement alimentaire (TCA), la dysmorphophobie, l'image de soi et les mécanismes de la motivation au changement, afin d’aider ceux qui souhaitent améliorer leur relation avec leur corps et leur bien-être global. Aujourd’hui, il partage son expertise et son expérience à travers son site , ses , ses et ses réseaux sociaux, notamment et . Auteur du livre aux éditions Eyrolles, il écrit également pour le magazine et intervient dans de nombreux sur le web. Il propose sur son site adaptés à ceux qui souhaitent perdre de la graisse et prendre du muscle, basés sur des données scientifiques et son expérience personnelle. Vous pouvez également . Avertissement : les informations fournies sur Fitnessmith.fr sont destinées à un usage informatif et ne remplacent pas les conseils d’un professionnel de santé. Fitnessmith.fr ne garantit pas l’exactitude, la fiabilité ou l’exhaustivité des contenus, et leur utilisation se fait sous votre entière responsabilité.

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