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Dans ce podcast, nous allons parler de gourmandise, de boissons sucrées et de crossfit.

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Sommaire du podcast :

  1. Quand nos neurones nous sauvent de la gourmandiseVous avez déjà eu cette envie irrépressible de vider le buffet en un clin d’œil ? Des neurones fraîchement identifiés pourraient bien être vos alliés dans cette bataille contre la surconsommation alimentaire. Une étude révolutionnaire de l’Université de Californie à San Francisco, publiée dans Nature, révèle l’existence de neurones, nommés PRLH, qui jouent un rôle crucial dès la première bouchée pour moduler notre rythme alimentaire grâce au goût.

    Traditionnellement, on pensait que la satiété était régulée par l’estomac et l’intestin, qui signalent au cerveau quand arrêter de manger. Cependant, ce processus prend du temps, souvent plusieurs dizaines de minutes. Alors, comment expliquer que l’on ralentisse notre consommation si rapidement ? Les neurones PRLH s’activent en quelques secondes, suggérant que les signaux gustatifs, et non les signaux lents de la digestion, sont à l’œuvre.

    Les expériences ont montré que ces neurones ne s’activent que lorsqu’ils reçoivent des informations gustatives. De plus, leur activation ou désactivation modifie l’appétence pour la nourriture : activés, ils réduisent l’intérêt pour la nourriture, même appréciée ; désactivés, ils augmentent la consommation, même d’aliments moins désirés. Ainsi, ces neurones PRLH nous aident à ne pas nous gaver, en influençant notre perception du goût au cours du repas.

    Ces découvertes ouvrent des pistes prometteuses pour la lutte contre le surpoids, en révélant un mécanisme cérébral immédiat régulant notre consommation alimentaire.

    Source : cerveauetpsycho.fr

  2. Boissons sucrées, activité physique et risque cardiovasculaire : un cocktail à risqueDans une étude prospective menée sur deux larges cohortes aux États-Unis, les chercheurs ont exploré les liens entre la consommation de boissons sucrées (SSB) ou artificiellement sucrées (ASB), l’activité physique, et le risque de maladies cardiovasculaires (CVD). Les boissons sucrées sont depuis longtemps dans le collimateur des spécialistes de la santé pour leur impact négatif, notamment leur rôle dans l’augmentation du risque de CVD, première cause de mortalité à l’échelle mondiale. Cette étude apporte un nouvel éclairage sur la manière dont l’activité physique pourrait influencer ce risque.

    Les résultats montrent des associations linéaires positives entre la consommation de SSB et le risque de CVD et de maladie coronarienne (CAD), tandis que l’activité physique est inversement associée au risque de CVD, CAD et AVC. De manière surprenante, consommer des ASB pourrait également présenter un risque légèrement accru de CVD. Plus important encore, l’analyse stratifiée révèle que respecter les recommandations d’activité physique ne réduit pas le risque de CVD lié à la consommation de SSB ou ASB.

    Cette étude souligne l’importance cruciale de l’activité physique pour la santé cardiovasculaire, tout en mettant en garde contre la consommation de boissons sucrées, même pour ceux qui sont physiquement actifs. Elle rappelle que l’activité physique ne peut pas entièrement compenser les effets néfastes de ces boissons sur le risque de maladies cardiovasculaires.

    Source : ScienceDirect

  3. Crossfit : réinventer le modèle pour survivreDans le monde du CrossFit, l’heure est à la réinvention. Florian Thin, ancien fusilier commando et propriétaire de deux boxs « CrossFit War Machine », partage son parcours et ses stratégies d’adaptation face aux défis du secteur. Avec une équipe de huit coachs et une croissance continue de ses membres, Florian a dû apprendre à naviguer dans l’univers entrepreneurial du CrossFit, souvent de manière éprouvante.

    Pour surmonter ces obstacles, il a créé un groupe Facebook dédié aux propriétaires de box francophones, devenu un espace d’échange et de soutien crucial. Les webinaires organisés abordent des thématiques essentielles comme la vente additionnelle, souvent négligée mais d’une rentabilité surprenante. Ces ventes, principalement de boissons et produits alimentaires, montrent un potentiel énorme dans l’optimisation de l’espace et l’accroissement des revenus.

    Un autre défi majeur réside dans la politique de tarification des abonnements, jugée trop basse par la communauté. Une enquête révèle que la majorité des propriétaires ne se rémunèrent pas plus de 1 500 euros par mois, un constat alarmant qui soulève des questions sur la valorisation des services offerts. Comparé à d’autres activités comme le yoga ou le Pilates, le CrossFit semble sous-évalué malgré des investissements matériels et humains conséquents.

    Ces discussions mettent en lumière le besoin urgent pour les propriétaires de box de CrossFit de repenser leur modèle économique, en intégrant mieux les ventes additionnelles et en revalorisant leurs tarifs. L’objectif est clair : assurer la viabilité à long terme de leur activité en adoptant une approche plus stratégique et collective.

    Source : Fitness Challenges

  4. Travail, fitness et longévité : L’évolution du bien-être dans la vie moderne

 

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