You are currently viewing Alimentation Pure ou Orthorexie ? Cétones, le Mirage de la Performance ? Alimentation, Déprime et Activité Physique

Dans cet épisode, nous allons parler de cétones, d’orthorexie et de sport pour retrouver la santé.

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Sommaire du podcast :

  1. Orthorexie ou non ?
    1. Orthorexia nervosa, un trouble alimentaire non reconnu où une personne devient obsédée par la consommation d’aliments purs et sains, fait débat. Certains chercheurs remettent en question sa validité. Un cas rapporté est celui d’un homme de 53 ans ayant subi un triple pontage et souffrant de maladie coronarienne et de cholestérol élevé, qui ne consomme que des aliments naturels et biologiques, faisant penser à de l’orthorexie. Cette obsession pour la qualité de l’alimentation, qui peut conduire à juger les choix alimentaires des autres, est pointée du doigt alors qu’elle pourrait sauver des vies, l’alimentation étant la première cause de décès et de handicap aux États-Unis. Steven Bratman, qui a proposé le terme d’orthorexie, a affirmé qu’il ne souhaitait pas créer une nouvelle catégorie de trouble alimentaire. Kelly Brownell, du Yale Center for Eating Disorders, a exprimé son scepticisme, déclarant que sans recherche pour soutenir sa théorie, Bratman cherchait simplement à profiter du public soucieux de sa santé.
  2. Les cétones ne marchent pas ? 
    1. Des chercheurs en kinésiologie de l’Université McMaster ont découvert que les compléments alimentaires à base de cétones, prisés par certains athlètes pour améliorer leur performance, pourraient en réalité l’affaiblir. Ces compléments ont gagné en popularité malgré des résultats contradictoires quant à leur efficacité. Leur principe est d’accélérer le processus naturel de production de cétones par l’organisme, normalement stimulé par un régime cétogène. L’étude a porté sur des athlètes d’endurance qui ont effectué deux essais de 20 minutes de vélo après avoir consommé soit un complément de cétone, soit un placebo. Le test était en double aveugle, les chercheurs et les athlètes ignorant la nature de la boisson consommée.Les résultats ont révélé que la vitesse des cyclistes était inférieure après avoir bu le complément de cétone par rapport au placebo. Cette observation concorde avec des travaux antérieurs montrant que les compléments de cétone augmentaient le stress cardiorespiratoire pendant l’exercice. Les chercheurs poursuivent leurs investigations pour mieux comprendre les effets des cétones sur la performance.
  3. Calmer la déprime avec l’alimentation
    1. Une étude de l’Inserm révèle un lien entre consommation d’aliments ultra-transformés et risques accrus de dépression. Ces aliments, incluant confiseries, plats préparés et autres produits industriels, ont déjà été associés à divers problèmes de santé comme l’obésité et le diabète. L’étude a analysé une cohorte de 6 000 consommateurs britanniques, concluant que ceux consommant plus d’un tiers de leur régime en aliments ultra-transformés présentent 30% de risques supplémentaires de symptômes dépressifs récurrents. L’explication avancée suggère un impact de cette alimentation sur le microbiote intestinal, une inflammation accrue et un stress oxydatif lié aux additifs et conservateurs contenus dans ces produits. Ces aliments sont également critiqués pour leur pauvreté nutritionnelle, leur richesse en graisses saturées, sucres et sel, et leur faible teneur en protéines, fibres, vitamines et minéraux. Leur attrait gustatif et leur facilité de consommation peuvent conduire à une surconsommation et une dépendance alimentaire.
  4. Bouger plus pour moins de diabète de type 2
    1. Une récente étude publiée dans le British Journal of Sports Medicine a dévoilé l’impact majeur de l’exercice physique sur la prévention du diabète de type 2, dépassant même les risques génétiques. Sur 60 000 adultes en bonne santé, ceux qui ont fait au moins 68 minutes d’exercice par jour ont réduit leur risque de diabète de 74% après 7 ans, comparativement aux personnes les moins actives. Ce résultat était valable même pour ceux à haut risque génétique. Plus impressionnant encore, les personnes génétiquement prédisposées mais très actives avaient un risque moindre de développer le diabète que les sédentaires sans risque génétique. L’étude a également souligné que n’importe quelle quantité d’activité physique, même entre 5 et 25 minutes par jour, peut aider à réduire le risque de diabète si l’activité est d’intensité modérée à vigoureuse. De plus, des recherches récentes montrent que l’exercice d’endurance peut améliorer la fonction des gènes, notamment ceux liés à la santé métabolique.
  5. Se calmer pour un corps parfait ( méthode )

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