75 hard, écarts alimentaires, de cannabis et boulimie.

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Dans ce podcast, nous allons parler d’écarts alimentaire, de club de musculation, de cannabis et de 75 hard challenge.

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Sommaire du podcast :

  1. La douceur envers soi, clé du succès dans la perte de poidsDans une société où l’obésité touche près de trois quarts des adultes américains, la lutte contre les kilos en trop est un véritable parcours du combattant. L’obésité, facteur de risque pour de nombreuses maladies, peut voir son emprise réduite par une perte de poids modeste. Cependant, les écarts alimentaires, ou « lapses », menacent souvent le succès de ces efforts en augmentant l’apport calorique. Une étude récente met en lumière l’importance de la self-compassion dans la gestion de ces écarts. Cette pratique, qui inclut la bienveillance envers soi, la reconnaissance de l’humanité commune et la pleine conscience, pourrait être la clé pour une réponse plus adaptative aux dérapages diététiques.Les chercheurs ont découvert que les individus faisant preuve de self-compassion après un écart alimentaire étaient moins enclins à la négativité, plus en contrôle de leurs comportements de gestion du poids et moins susceptibles de répéter l’écart le jour même. Cette approche pourrait non seulement aider à maintenir l’effort dans la poursuite de l’objectif de perte de poids mais aussi à améliorer l’adhésion aux prescriptions diététiques après un écart.

    L’étude souligne que, contrairement à la croyance populaire, la self-compassion ne mène pas à la complaisance mais favorise au contraire une meilleure gestion des erreurs et des échecs, en permettant une récupération plus rapide et une perspective plus équilibrée sur les objectifs à long terme.

    Source: ScienceDirect

  2. Fitness post-covid : un nouveau défi pour les clubsLa pandémie de COVID-19 a bouleversé nos vies, y compris nos habitudes de consommation dans le domaine du fitness. Paul Bedford, expert reconnu, nous révèle dans une étude récente comment ces changements impactent les clubs de fitness. Avec le travail à distance devenu la norme pour beaucoup, les comportements des consommateurs ont évolué, entraînant une hausse des ventes, mais une baisse de la fidélisation dans les clubs de fitness.Trois tendances principales se dégagent : d’abord, une diminution de la durée d’adhésion post-pandémie, avec une chute notable de la fidélité des membres. Ensuite, une préférence pour la diversité des lieux d’entraînement, les clients cherchant à varier leurs activités entre plusieurs clubs ou à travers des séances payées à la carte. Enfin, une augmentation de la demande pour des paiements à l’utilisation, reflétant une réticence à s’engager dans des abonnements mensuels.

    Face à ces changements, Bedford conseille aux clubs de se concentrer sur l’expérience client, d’exploiter intelligemment leurs données pour s’adapter à ces nouvelles habitudes, et d’envisager des abonnements flexibles qui permettent l’accès à plusieurs sites. L’objectif est de créer une valeur ajoutée claire pour encourager une fréquentation régulière et, par conséquent, une meilleure fidélisation.

    Ces insights sont cruciaux pour les clubs de fitness cherchant à naviguer dans le paysage post-COVID, suggérant une révolution dans la manière dont les services sont proposés et consommés.

    Source: Fitness Challenges

  3. Quand le cannabis croise la route des troubles alimentairesUne récente étude de l’Université Drexel se penche sur la relation entre la consommation de cannabis et les troubles du comportement alimentaire, notamment les crises de boulimie. Plus de 23% des participants à cette recherche, tous en quête de traitement pour des troubles de binge eating, ont admis avoir consommé du cannabis au cours des trois derniers mois.L’étude, publiée dans Experimental and Clinical Psychopharmacology, révèle que le cannabis pourrait intensifier le plaisir ressenti lors de la consommation d’aliments riches en sucre ou en graisses, jouant ainsi un rôle dans la persistance des crises de boulimie. Cependant, contrairement à ce que l’on pourrait penser, les participants consommateurs de cannabis n’ont pas montré de symptômes plus sévères de troubles alimentaires ou de dépression par rapport à ceux qui n’en consomment pas.

    L’aspect intéressant de cette étude est la corrélation entre la consommation de cannabis et une consommation d’alcool plus fréquente et problématique, suggérant un risque accru de troubles alimentaires en raison des effets combinés sur l’appétit et l’humeur. Les auteurs de l’étude recommandent donc aux cliniciens de systématiquement dépister la consommation de cannabis et d’alcool chez leurs patients souffrant de troubles alimentaires, afin d’évaluer les éventuels problèmes liés à cette consommation.

    Cette recherche souligne l’importance de comprendre comment la consommation de substances peut influencer les troubles alimentaires, dans l’optique d’améliorer les traitements existants et de proposer des approches thérapeutiques plus adaptées.

    Source: ScienceDaily

  4. 75 hard challenge : le test ultime de force mentale et physiqueLe 75 Hard Challenge, c’est la nouvelle vague qui déferle sur la fitness sphère, promettant une transformation radicale tant physique que mentale. Créé par le gourou du fitness Andy Frisella, ce programme n’est pas pour les âmes sensibles. Imaginez : 75 jours de discipline de fer, avec deux séances d’entraînement de 45 minutes par jour (dont une en plein air), un régime alimentaire choisi par vos soins, un litre d’eau à boire quotidiennement et la lecture de 10 pages de développement personnel. Le moindre écart ? C’est reparti pour un tour depuis le début.David Larbi, 26 ans, s’est jeté à corps perdu dans cette aventure, en quête de dépassement de soi. Avant le challenge, sa routine se limitait à quelques passages hebdomadaires en salle de sport, sans grande conviction. Le résultat ? Une réussite éclatante et une satisfaction personnelle immense. Pour lui, le 75 Hard va bien au-delà du physique : c’est un combat mental, une lutte quotidienne contre soi-même pour se prouver sa propre valeur.

    Mais attention, le 75 Hard n’est pas qu’une question de muscles et de sueur. C’est une leçon de vie, un apprentissage de la discipline, de la persévérance et de l’auto-soin. Des étirements avant et après chaque séance, une hydratation constante, une alimentation équilibrée (avec quelques écarts contrôlés) et surtout, une motivation de fer sont les clés de la réussite de ce défi.

    David Larbi témoigne de l’importance de prendre le challenge jour après jour, sans se projeter. Chaque jour est une victoire, chaque séance un pas de plus vers une meilleure version de soi-même. Et si l’envie de baisser les bras se fait sentir, se rappeler pourquoi on a commencé est le meilleur moteur.

    Le 75 Hard Challenge n’est pas pour tout le monde, et c’est là toute sa beauté. Il s’adresse à ceux prêts à se transformer de l’intérieur, à ceux qui cherchent à tester leurs limites. Comme le dit David, l’important n’est pas de suivre le programme à la lettre, mais de s’engager pleinement dans un processus de changement, pour soi.

    Source: GQ France

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